Lettre À Ma SUr
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Ma grande sur adorée,
La dernière fois que tu es venue à la maison tu as refusé que je tembrasse sur la
bouche comme nous lavions fait il y a six mois. Tu craignais quen persévérant dans
notre relation ueuse que des gestes nous échappent et que le reste de la famille
finisse par sen apercevoir.
Je nai bien sûr pas voulu créer un scandale et je ne tai donc pas touchée durant
cette journée mais réfléchis un peu : Nous ne sommes pratiquement daccord sur rien
(sauf sur le sexe), nous nous envoyons constamment des piques, même depuis que nous
avons fait lamour, alors comment veux-tu que quelquun puisse imaginer que nous ayons
des relations sexuelles ensemble ?
Jattends avec impatience ta visite, la semaine prochaine et je timagine déjà dans
mes bras, nos lèvres enfin unies par un langoureux baiser.
Je me masturbe en técrivant cette lettre et jespère que tu en feras autant en la
lisant.
Surtout quand tu viendras, pense à mettre une robe très légère que je puisse
facilement la retrousser quand je te tiendrai dans mes bras. Ne mets pas de soutien-
gorge, tes seins sont suffisamment fermes et cet accessoire ne ferait que gêner.
Hummm ma grande sur ; imagine-toi dans mes bras, collée à moi, membrassant sur la
bouche, nos langues roulant lune sur lautre, nos salives se mêlant tandis que mes
mains remonteraient ta robe pour saisir tes fesses généreuses. Les ayant bien pétries
je baisserais ton slip et passerais la main entre nous pour te caresser le pubis.
Hummm, oui, tu sens ma main sinsinuer entre tes cuisses ? Je masse ton petit abricot,
mon doigt va jusquentre tes fesses. Je sens ton anus, tu mouilles ma main
goûte ça !
Oui suces mon doigt !
Ma main se pose sur ton bras et descend sur ton poignet. Jattire ta main sur la bosse
de mon short.
soupèses, tu membrasses plus fougueusement. Il est temps de passer aux choses
sérieuses.
Je tentraîne dans la chambre où, sans pudeur, tu te jettes sur le lit, les cuisses
ouvertes, la robe retroussée. Tu me tends les bras et minvites à te rejoindre. Je me
débarrasse de mon short et de mon slip et me couche sur toi. Tu me saisis la queue et
la guide vers ton fourreau humide. Que dis-je humide ? Trempé serait plus exact.
Hummm, je besogne ma grande sur, elle gémit. Tu aimes ça mais tu ne cesse de répéter
: « ce nest pas bien
» Et cela mexcite encore plus. Oui ma grande sur, nous avons
enfin une vraie relation ueuse
Jai envie de toi Murielle, jai envie de te défoncer, dinonder ton vagin et dy
déverser un sperme fraternel, jai envie de tembrasser sur la bouche, de caresser
chaque centimètre carré de ton corps, de peloter tes seins, de promener ma bite sur
ton visage pour enfin lenfourner dans ta bouche gourmande.
Imagine ma grande sur, en une fois tu fais cocu ton mari avec ton petit frère et ton
petit frère fait cocu sa femme avec sa grande sur.
Murielle, viens vite, viens te faire sauter, je nen peux plus dattendre.
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